👉 Le plus dur, c’est pas de travailler pendant un jour férié.
C’est de ne rien faire… sans culpabiliser.
Travailler pendant un jour férié, je sais faire.
J’ai même longtemps apprécié ça.
Personne pour me déranger.
Un moment de calme pour avancer, pas de distractions, pas d’interruptions.
Mais couper vraiment ?
Couper sans faire semblant, sans chercher une “productivité cachée” ?
C’est là que ça devient dur.
Parce qu’on n’a pas grandi avec une culture du vide, de la lenteur.
On a appris à rentabiliser. À "profiter utilement".
Même notre repos est censé nous rendre plus efficaces ensuite.
📉 Résultat : des gens en burnout… qui culpabilisent encore de ne pas “assez optimiser leur pause”.
Aujourd'hui, je fais rien. Et je m’oblige à ne rien attendre de ce rien.
👉 Tu relèves le défi aussi ? Ou tu fais partie des “juste un petit truc vite fait” ?
Chief People Officer | Talent Acquisition & HR Transformation | AI Enthusiast
4 months ago
Alexandre je suis d’accord avec toi : « Quand on trouve un équilibre sain et durable, ces notions de weekends et vacances n'ont plus de sens. »
Par contre je trouve dure ta formulation « c’est un truc de salarié » pour ceux qui subissent plus leur job qu’ils ne s’y épanouissent.
Cet équilibre c’est un luxe (même si en général il faut travailler pour y arriver) que tout le monde ne peut pas se permettre pour une multitude de raisons (santé, secteur, contraintes familiales etc…
Dans tous les cas félicitations de l’avoir trouvé et surtout tenu sur une longue période parce que l’équilibre c’est pas statique et ça fluctue en fonction de nos vies.
De consultant en recrutement salarié à indépendant | Fondateur de Talents Groupe | Collectif premium de recruteurs indépendants I +50 consultants accompagnés | Podcast “Entre recruteurs”
4 months ago
C'est vraiment un sujet intéressant.
De mon côté je n'ai pas pris de vacances depuis 6 ans, pourtant j'ai voyagé dans une 20aine de pays.
C'est rare que je ne bosse pas un jour, mais je bosse rarement plus de 4 heures par jour.
Et je suis dans une sérénité inouïe vis-à-vis du travail.
Genre 0 stress, vraiment.
Je pense que ces alternances travail/weekend, boulot/vacances c'est vraiment un truc de salariés qui alternent pression et décompression.
Quand on trouve un équilibre sain et durable, ces notions de weekends et vacances n'ont plus de sens.
Je peux bosser le matin et faire du paddle ou du ski l'après-midi.
Ce n'est bien sûr que mon expérience personnelle.