𝗥𝗲𝗰𝗿𝘂𝘁𝗲𝗿 𝗴𝗹𝗼𝗯𝗮𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁… C’est comme organiser un barbecue dans 5 pays en même temps, sans jamais être sûr de comprendre ce que mangent vraiment tes invités. 😅 Sauf que moi, j'ai déjà testé. Pas le barbecue, hein. Mais la signature manuscrite allemande… ✍️ 𝗝𝗲 𝗺𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘃𝗶𝗲𝗻𝘀 : Recrutement full remote, process ultra fluide, candidate idéale… Jusqu’au fameux : « Pour être valide, il faut la version originale, signée à la main. » Dans ma tête : « On n’était pas censés avoir dépassé l’ère du minitel et du fax ? » Le tout, un 31 décembre, deadline impérative. On y est arrivé… mais quelle galère ! Mais 𝗷’𝗮𝗶 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗶𝘀. Et aujourd’hui, j’en rigole. 𝗥𝗲𝗰𝗿𝘂𝘁𝗲𝗿 à 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 : • Découvrir des profils inspirants, venus d’horizons inconnus. • Explorer des marchés, t’ouvrir à de nouvelles 𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲𝘀. Mais l’envers du décor 👀 : • La législation locale (si le droit du travail européen était harmonisé, ça se saurait). • Les spécificités : pensions, voitures, tickets restau… et signatures “wet ink”. 👉 𝗟’𝗮𝗱𝗮𝗽𝘁𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲 𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲𝗹𝗹𝗲, 𝗰𝗮 𝗻𝗲 𝘀’𝗮𝗰𝗵𝗲𝘁𝗲 𝗽𝗮𝘀. 𝗖𝗮 𝘀𝗲 𝗯𝗼𝘀𝘀𝗲. 𝗧𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀. Mais 𝗰𝗮 𝗽𝗮𝗶𝗲 ! • Les équipes les plus diversifiées innovent deux fois plus vite. • À choisir entre tourner en boucle dans le même vivier ou tenter une danse mondiale : je chausse mes bottes de globe-trotter du sourcing tous les matins. 💬 𝗘𝘁 𝘁𝗼𝗶, 𝗰’𝗲𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 𝘁𝗮 𝗴𝗮𝗹𝗲𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗿𝗼𝗯𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗮 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹 ?